Samedi 13 octobre, le Club Cyclo Millavois propose des randonnées cyclistes aux licenciés affiliés FFCT. Rendez-vous place de la Capelle, devant la Maison des Grands Evénements. Les départs en saison estivale s’échelonnent de 8h à 8h10 et de 13h30 à 13h40.
- Parcours A (personnalisable, 102 km, dénivelé + 1190 m : Tour sur le Méjean Millau – La Cresse – Peyreleau – Meyrueis par la Jonte – D986 côte de l’aven Armand – Parcourir 5 km prendre la petite route D18 sur votre droite – Parcourir 2 km prendre la route sur votre gauche D63 Drigas prendre à gauche – Emb D986 prendre à droite – La Parade – Descente des Bastides – Le Rozier – Boyne – Rivière – Aguessac – Paulhe – Millau.
- Parcours B (personnalisable, 93 km) : Même début que le parcours A, même fin. Millau – La Cresse – Peyreleau – Meyrueis par la Jonte – D986 côte de l’aven Armand – La Parade -Descente des Bastides – Le Rozier – Boyne – Rivière – Aguessac – Paulhe – Millau.
De plus amples détails sur le parcours sont disponibles sur : http://clubcyclomillavois.fr (rubrique activité). Vététistes et routiers, un départ hebdomadaire a lieu tous les jeudis à 13h45. Routiers, le dimanche, un départ a lieu à 9h.
Sur le parcours dans la vallée de la Jonte, vous passerez devant la terrasse d’observation des Vautours
Une terrasse d’observation a été mise en place afin de pouvoir observer au mieux les vautours volants dans les gorges. Contrairement aux parcs les plus courants, les vautours sont ici en totale liberté, et n’ont aucune obligation de rester sur place. Il arrive même fréquemment qu’ils soient observés à des dizaines de kilomètres. Certains spécimens ont voyagé très loin, au Sénégal et aux Pays-Bas par exemple. Les espèces présentes :
Le Vautour fauve Caractérisé par une tête blanche, il a une envergure de plus de 2,40 m pour un poids d’environ 10 kg. C’est la première espèce réintroduite dans le parc, après une acclimatation en volière, un premier couple a été lâché dès 1981 dans les gorges de la Jonte. Ils vivent en colonies sur un territoire de 4 000 km◊ sur les grands Causses et nichent dans les falaises. Quatre ans après la première tentative de réintroduction, la colonie comptait 50 rapaces et aujourd’hui plus de 200.
Le Vautour Moine Légèrement plus grand que le vautour fauve, le vautour moine est cependant plus léger. Il a été réintroduit en Lozère, suite à la réussite de la précédente expérience, en 1992, pour un résultat de 70 individus et 20 couples. Eux vivent en couples et nichent dans les arbres.
Le Vautour Percnoptère Espèce migratrice, beaucoup plus petite (1,60 m d’envergure pour 2 kg environ), est revenu en Lozère par ses propres moyens peu de temps après l’arrivée du vautour fauve. Il ne reste cependant pas toute l’année dans les gorges de la Jonte, et fuit l’hiver des Causses vers des destinations plus chaudes comme l’Afrique.
Le Vautour Gypaète barbu, le chaînon manquant : Actuellement absent de la zone, les populations de cette espèce sont situées dans les Pyrénées et l’arc alpin. Il a la particularité de se nourrir d’os et termine donc le travail d’élimination des squelettes après le passage des 3 autres espèces. Deux jeunes Gypaètes ont été relâchés dans la Jonte en 2012, ils ont quitté le ciel des Causses pour se rapprocher de leur lieu de naissance : les Alpes pour le mâle et les Pyrénées pour la femelle. En juin 2013, deux nouveaux jeunes ont été relâchés dans le Trévezel. Malheureusement la femelle est morte lors de ses premiers vols, le mâle se promène en solitaire, mais a perdu sa balise.
Flash info Samedi 20 octobre, randonnée Téléthon au Massegros. Route et VTT et Vélo électrique. Pédestre.