Une société se doit, avant tout, d’être homogène. Il n’y a donc pas lieu de différencier, par exemple, les jeunes des moins jeunes, que ce soit au niveau départemental ou à quelque niveau que ce soit.
Cet impératif qui repose tout bonnement sur des destins liés n’empêche pas, toutefois, de s’investir dans les domaines que l’on connait le mieux. Les jeunes, demain, et c’est d’une telle évidence, seront appelés à construire un monde le plus viable possible. La notion de proximité, ici, joue un rôle essentiel.
Le département est en effet l’échelon pertinent pour faire remonter les compétences et étayer les ambitions.
En ce qui me concerne, particulièrement investi dans l’éducation sportive, et le milieu associatif en général, je sais toute l’importance d’une main tendue. D’un suivi qui facilite l’obtention d’une formation, d’un emploi.
J’entends ainsi aller au plus près de toutes celles et tous ceux de ma génération, que je côtoie et dont je connais les impératifs au quotidien.
C’est seulement à partir du moment où l’on participe véritablement à des prises de décisions que l’on peut se pencher sur l’environnement, domaine dans lequel le département est très présent. Que l’on peut s’investir dans le sport, et notamment dans le sport de pleine nature qui est chez lui dans le sud-Aveyron. Dans le social, qui permet de ne laisser personne au bord du chemin.
Mon parcours doit beaucoup à cette notion de partage et de solidarité. Vous pourrez donc, sur ce canton de Millau 1, compter sur moi. Sur mon dynamisme et sur mes relais. Pour avoir notre mot à dire, votons les 20 et 27 juin prochains.
Et Osons cet Aveyron, en nous appuyant sur un conseil départemental particulièrement bien géré ces dernières années par le président Jean-François Galliard.
Thomas FAGES, candidat remplaçant « Osons l’Aveyron », canton Millau 1
