Millau. Une défaite pour les U18 féminines du SOM, mais de nets progrès

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Ce samedi 9 novembre, les U18 féminines du SOM Rugby recevaient le « LOU Rugby », leader de la poule, au Parc des Sports de Millau. Les millavoises s’inclinent à domicile, mais ont montré de belles choses sur le terrain.

Les joueuses de Jonathan Santos et Laura Saunier ont affronté un adversaire redoutable, contre lequel elles ont malgré tout bien résisté. Après deux défaites lors des premières rencontres, les filles du SOM et les encadrants ont senti qu’il se passait quelque chose dans ce match face au Lyon Olympique Universitaire Rugby. Bien que le score final de 29 à 9 leur soit défavorable, les Millavoises ont montré qu’elles tenaient leur rang face à une solide équipe lyonnaise, rappelons-le, première de poule.

L’entraîneur Jonathan Santos s’est dit satisfait de ce qu’il a observé sur le terrain et a souligné les progrès de l’équipe. « On sent qu’elles sont en train de progresser, elles ont mis de l’envie, on est contents d’elles. Il ne faut pas oublier qu’elles ont affronté une équipe capable d’atteindre les derniers matchs des phases finales. Sur ces rencontres, il faut mettre de l’agressivité et finir les actions, c’est ce qui nous a manqué aujourd’hui », a t-il déclaré, espérant le retour de certaines joueuses blessées pour compléter l’équipe.

« On est fiers d’elles et elles peuvent être fières aussi. La plupart des équipes sont à ce niveau depuis plusieurs années, alors que nous venons d’arriver », ajoute-t-il, tout en rappelant que le chemin sera long. En effet, les matchs les plus importants arrivent, l’équipe devra réussir à se maintenir face à des adversaires de taille. Le week-end prochain, elles affronteront Montpellier dans un match qui s’annonce difficile pour les Millavoises, avec la particularité d’y retrouver quelques joueuses formées au SOM.

Les prochaines échéances seront donc capitales pour les joueuses de Millau, qui devront viser la victoire. En attendant, « il reste des choses à travailler, avec encore plus d’implication aux entraînement », note Jonathan Santos. « On part d’en bas, on apprend, on gagne en expérience, mais elles jouent à leur niveau », affirme-t-il.

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